Qu’est-ce qu’un bon plafonnage ?

Pour une nouvelle construction impeccable, de nombreuses étapes sont nécessaires. Parmi ceux-ci figure le plafonnage. Cette dernière est synonyme de l’approche de la fin des travaux lors du parachèvement. Si vous prévoyez lancer des travaux de plafonnage, prenez le temps de découvrir les caractéristiques d’un bon plafonnage avant de vous lancer.

Les différents types de plafonnage

Le plafonnage est une technique de recouvrement des murs et des plafonds d’enduit ou d’une couche de plâtre dans le but d’avoir une surface lisse et plane pouvant accueillir la peinture ou autres décorations. Sans cela, les finitions sont bâclées. Vous avez le choix entre les deux types de plafonnage : ou consultez le pour plus d’informations.

Le plafonnage à sec

C’est le plafonnage le plus facile à réaliser. Il consiste à installer une charpente en métal ou en bois sur laquelle seront fixées des plaques de plâtre. Le tout sera ensuite caché par un enduit spécifique pour permettre l’application de la peinture ou des papiers peints. Ce type de plafonnage peut être réalisé même par les amateurs.

Le plafonnage humide

Ce plafonnage requiert un grand savoir-faire et une connaissance précise dans le domaine. À cet effet, il doit impérativement être réalisé par un professionnel au risque d’obtenir un mauvais plafonnage. Vous trouverez des professionnels compétents sur gs plafonnage.

Comme son nom laisse à imaginer, ce plafonnage nécessite de l’eau. C’est-à-dire qu’il faut mélanger du plâtre avec de l’eau ou de l’enduit. La pâte obtenue sera ensuite appliquée sur le mur ou le plafond pour obtenir une surface lisse et plane. C’est un exercice assez délicat, car il faut tenir compte du temps de séchage.

Les étapes d’un bon plafonnage

Obtenir un bon plafonnage est toujours synonyme d’une bonne préparation. En réalité, il faut disposer d’un sac de plâtre qui sera transformé en une pâte homogène, suivant les dosages d’élément spécifiés sur le sac. Ensuite, ce mélange doit être étalé sur la plâtresse puis surmonté d’enduit d’une épaisseur de 10 mm.

Ensuite, il faudra uniformiser la surface obtenue avec une règle. Le tout doit durcir avant que les imperfections soient gommées à l’aide d’un couteau de 40 à 50 cm. L’étape suivante consistera à talocher avec une éponge la surface obtenue en exécutant des mouvements circulaires pour faire apparaitre une fine laitance. À ce niveau, le plafonnage est presque terminé. Pour parfaire votre travail au moyen d’une plâtresse, lissez la surface en tenant l’ustensile incliné par rapport au support.

Les conditions nécessaires pour un bon plafonnage

Avant d’envisager le plafonnage, plusieurs conditions doivent être réunies. Tout d’abord, tous les éléments encastrables dans les murs ou les sols devront être placés. C’est-à-dire que le tuyautage devrait être complètement réalisé, l’électricité, le chauffage et autres devraient être aussi installés. Ceci est nécessaire, car fait après le plafonnage votre nouvelle construction n’aura pas un bon aspect.

À cette étape suivra la préparation des murs et plafonds. Le plafonneur doit aussi s’assurer que les produits de décoffrage des bétons sont éliminés, que les trous et fissures sont rebouchés. Aussi, il doit placer des cornières d’arrêts aux angles des places et faire du striage sur les murs trop lisses.